La malédiction du clan Kennedy continue : "Un ver est entré dans mon cerveau et en a mangé une partie"… La terrible maladie qui a frappé Robert, candidat à la Maison blanche

La famille Kennedy est frappée par une malédiction. JFK et son frère Robert ont été assassinés, David et Saoirse (fils et petite-fille de Robert) sont morts d’une overdose, le fils de JFK a péri dans un crash d’avion, Maeve (une autre petite-fille de Robert) a été retrouvé morte après avoir disparu et son fils est toujours recherché… Des destins tragiques aussi fascinants qu’intrigants.

Une malédiction dont un nouveau chapitre a été écrit il y a 10 ans mais qui n’a été publié que ce mercredi 8 mai dans les colonnes du New York Times.

Dossiers

Robert F. Kennedy Jr - encore un fils de Robert – est le troisième larron de l’élection présidentielle américaine. En effet, il se présente face à Joe Biden et Donald Trump. Et comme bien des fois à quelques mois de l’échéance (novembre), les vieux dossiers ressortent.

En 2012, Robert est engagé dans une procédure de divorce. Il avoue alors être atteint de problèmes d’ordre cognitif. "J’ai une perte de mémoire à court terme et une perte de mémoire à long terme qui m’affecte", déclarait-il à l’époque.

Selon sa déposition, il redoute dans un premier temps une tumeur au cerveau. En réalité, un deuxième avis médical lui donne une version bien différente. Les taches sur son cerveau visibles au scanner sont en réalité les traces du passage d’un ver qui est mort après lui en avoir mangé une partie. "L’anomalie sur ses scanners était causée par un ver qui est entré dans mon cerveau et en a mangé une partie, puis est mort", est-il écrit dans le dossier. Bien mal en point Bobby, puisqu’à l’époque, il affirme également souffrir d’une intoxication au mercure après avoir mangé trop de sandwichs au thon. Ce qui est très certainement à l’origine du parasite.

Mais depuis tout va mieux, et Robert clame haut et fort s’être remis de cette pathologie.

Âgé de 70 ans, et avec toute sa tête, Kennedy met en avant sa relative jeunesse par rapport à ses adversaires dans la course à la Maison blanche (Trump a 77 ans, Biden en a 81). Interrogé si ses problèmes de santé pouvaient affecter ses capacités diriger le pays, un porte-parole a répondu : "C’est une suggestion hilarante, compte tenu de la concurrence".